Technique de nage en eau libre: travaillez moins, nagez plus vite ( Jonty Skinner )

Tous les nageurs reconnaissent que l'eau libre présente des défis jamais vus dans une piscine. Les eaux plus rugueuses et sans voies sont les plus évidentes. Moins évidente est la différence considérable dans le coût de l'énergie.

Considérez ceci: dans une piscine, environ 20 pour cent de votre temps se compose des pauses de caresser, tandis que vous poussez du mur. En eau libre, il n'y a pas de pauses de repos pour les bras fatigués.

Cela nécessite non seulement une meilleure, mais différente, la technique de natation en eau libre. Le problème peu reconnu est que la formation dans les piscines de 25 verges ou de mètres, comme la plupart des triathlètes et des nageurs d'eau libre le font, favorise le développement des habitudes d'AVC qui sont susceptibles de saper votre performance en eau libre.

Dans une piscine, vous nagez généralement à seulement 20 coups à la fois. Dans un triathlon, vous nagerez entre 1000 (Sprint) et 5000 (Ironman) coups ininterrompus. S'efforcer de nager votre plus rapide dans une séance d'entraînement piscine peut apporter une gratification immédiate, mais à long terme, peut limiter votre potentiel d'eau libre.

L'application de cette leçon dans ma propre pratique a conduit à un succès sans précédent dans l'eau libre: quand j'ai tourné 55, en 2006 j'avais été un nageur de distance Cut-no-Corners pendant près de 40 ans. Bien que non distingué dans mon adolescence et 20s, après l'âge de 40, j'avais réussi à gagner quelques médailles dans les événements nationaux de maîtres. Mais entre 55 et 60, je n'ai pas seulement terminé plusieurs marathons de 20 + miles, j'ai également remporté six Championnats nationaux de Masters à des distances d'un mile à 10K, et de fixer des records nationaux dans le 1-et 2-mile câble nage.

Le changement le plus important dans ma formation a été de dévaloriser la vitesse dans la piscine, et d'éviter rigoureusement la pratique des coups de roulement élevés, axés sur le pouvoir.

Par exemple, pendant les répétitions plus courtes, tandis que mes coéquipiers de maîtres ont sprinté avec des coups de rotation élevés, prenant souvent 20 coups ou plus par longueur, je me suis limité à 15 coups ou moins, s'efforçant d'imprimer la forme que je pourrais soutenir sans fatigue pour 2000 ou plus Coups. J'étais disposé à «perdre» des répétitions courtes de formation pour gagner dans un événement d'eau libre qui pourrait être des mois loin.

Alors que peu partagé ma réticence à  "Sprint, " une étude 2005 par Jonty Skinner, directeur de la science de la performance pour les Etats-Unis de natation, a suggéré que j'avais frappé sur la façon optimale de former-dans la piscine-pour l'eau libre.

Skinner a décidé d'enquêter sur les raisons pour lesquelles certains concurrents de courte durée (SC) d'élite se sont mal déroulés dans des événements tenus en 50-mètres  "long course " (LC) piscines, tout comme les Jeux olympiques. Quand il a comparé la vidéo de SC et de spécialistes LC, il a découvert les meilleurs LC freestyles nager avec plus, plus lent,  "Hip-Driven " traits. Ce style pourrait générer un peu moins de vitesse en rafales courtes, mais a été nettement moins fatigant.

Les spécialistes du SC ont utilisé un AVC  "piloté par l'épaule" qui permettait des tempos plus élevés et des niveaux accrus de force de bras. Il a permis aux nageurs de générer plus de vitesse en rafales courtes, mais était trop fatigant pour soutenir pendant très longtemps. Dans une piscine de 50 mètres où le temps passé à nager entre les virages est plus de deux fois plus grand, la vitesse de courte rafale de la course SC n'a pas été compatible avec la durabilité de la course LC.

J'ai immédiatement reconnu que le meilleur style dans une piscine de 50 mètres deviendrait extrêmement avantageux en eau libre et redoubla mon engagement à la plus longue, moins pressé, accident vasculaire cérébral. En un an, j'ai commencé à faire l'expérience de succès que je n'avais jamais rêvé possible.